play_arrow

keyboard_arrow_right

Listeners:

Top listeners:

skip_previous play_arrow skip_next
00:00 00:00
playlist_play chevron_left
chevron_left
  • cover play_arrow

    Radio Libre La boucle – 24/24

  • cover play_arrow

    Redonner le contrôle de l'énergie aux citoyens | Frédéric James Gentizon / Innergia (43 min.) Nicolas

  • cover play_arrow

    Amaëlle au Paraguay | Épisode 8 (6 min) Amaëlle O'Brien

  • cover play_arrow

    Dubaï, incorrect d'exclure le facteur humain (9 min) SCIENCE

  • cover play_arrow

    OMS: le Conseil national veut avoir son mot à dire (2 min) SUISSE

  • cover play_arrow

    L'économie circulaire en Suisse | Martina Rapp (40 min) Nicolas

  • cover play_arrow

    Les dangers de l'électrosmog | Olivier Bodenmann (38 min) DIGITALISATION

play_arrow

Corruption

Macron et la loi « Pfizer » (5 min)

micCensuretoday13 mars 2024 188 4

Arrière-plan
share close

Censure – 13 mars 2024

La récente révision de la loi contre les dérives sectaires, en France, dérive à son tour en interdisant toute critique contre la pharma. Voici la traduction d’un podcast de Radio Munich.

  • cover play_arrow

    Macron et la loi "Pfizer" (5 min) Censure


soutenir l’émission | mp3 ]

Voici la traduction d’un podcast de Radio Munich concernant la récente révision de la loi contre les dérives sectaires, en France. Par Viv.

Bonjour, de Radio Munich

L’industrie pharmaceutique s’immunise. Et ce, contre les critiques et les mises en garde contre ses produits. C’est ainsi qu’elle semble s’immiscer dans la politique en France.

Mi-février, l’Assemblée nationale a voté une loi que beaucoup appellent déjà l’article Pfizer. Elle interdit aux critiques et aux voix discordantes, sous la menace d’amendes ruineuses, de mettre en garde contre les produits médicaux et les méthodes thérapeutiques qui, selon l’état de la science, seraient sûrs et efficaces.

Faire part de ses inquiétudes à ses amis concernant le cinquième booster ? Mettre en garde contre les nouvelles préparations lors de la prochaine dite pandémie ? Déconseiller de manière générale le passage à la technologie ARNm pour les vaccins ? En France, cela est désormais passible d’une amende, voire d’une peine de prison. Les auteurs responsables d’innombrables dommages ou décès dus aux injections d’ARNm issus de l’industrie pharmaceutique et de la politique, restent jusqu’à présent impunis. Protection des auteurs, criminalisation des critiques et des lanceurs d’alerte. C’est à peu près ainsi que l’on pourrait résumer le projet de loi.

Écoutez à ce sujet le texte de Norbert Häring « Le gouvernement Macron fait voter la ‘loi de protection Pfizer' », speaker pour l’allemand, Ulrich Allrogen :

L’Assemblée nationale française a adopté le 14 février une « loi contre les dérives sectaires ». Après de nombreuses tergiversations, celle-ci contient finalement un article controversé qui prévoit une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans si l’on déconseille un traitement scientifiquement approuvé pour une maladie et que l’on met ainsi des personnes en danger. Ce texte pourrait être utilisé pour emprisonner des médecins et d’autres personnes s’ils déconseillaient, par exemple, les vaccins à ARNm controversés.

En raison de l’opposition du Sénat et de l’opposition à l’Assemblée nationale, l’article de la loi « Lutte contre les dérives sectaires » qui prévoit de lourdes sanctions pour ceux qui demandent d’arrêter ou de ne pas entamer des traitements scientifiquement recommandés avait été entre-temps retiré. Mais mercredi, le parti du président Macron l’a réintroduit dans les débats parlementaires sous une nouvelle formulation et l’a fait voter à nouveau, avec succès.

Selon les médias et la déclaration de la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache du 13 février, « l’article 4 de la loi crée un délit d’incitation à l’abandon ou au renoncement à des soins de santé ou à l’adoption de pratiques exposant manifestement la personne visée à un risque grave pour sa santé ».

Le critère est « l’état de la science ». Ce que les scientifiques acceptés ou les comités scientifiques appellent l’état de la science est ainsi élevé au statut de vérité indiscutable dans le domaine de la médecine. Ceux qui s’y opposent sont emprisonnés.

La sanction pour s’écarter de l’état de la science – défini par qui que ce soit – peut aller jusqu’à un an de prison et 30 000 euros d’amende. Si une personne contactée suit le conseil, c’est même jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amende.

Ainsi, déconseiller les vaccins à ARNm, par exemple, devient très dangereux pour les détracteurs, dès lors que des organismes scientifiques ont affirmé que ces vaccins étaient importants, sûrs et efficaces.

Soyons clairs. Le nouveau délit ne présuppose pas un environnement sectaire ou une relation de dépendance. Toute personne qui, contrairement à la croyance dominante, pense qu’un certain traitement est nuisible ou qu’un autre est bénéfique, et qui conseille de bonne foi des personnes saines d’esprit en conséquence, peut être emprisonnée jusqu’à trois ans pour cela.

Le socialiste Arthur Delaporte a salué le retour de cette mesure, « plus que jamais nécessaire » pour « défendre la science » alors que « des gens racontent des choses inacceptables sur les réseaux sociaux ». Elle a été réécrite pour « ne pas s’appliquer aux lanceurs d’alerte », a souligné la rapporteuse du parti Renaissance, Brigitte Liso.

Lorsqu’une telle loi est mise en place juste après une soi-disant pandémie contre une forte résistance, une « pandémie » au cours de laquelle des « vaccins » expérimentaux ont été vendus comme étant scientifiquement prouvés nécessaires, sûrs et efficaces, alors qu’il n’en était rien, et que les entreprises pharmaceutiques devenues riches comme Crésus grâce à cela veulent, sans se laisser impressionner, mettre sur le marché de très nombreux autres vaccins à ARNm après un temps de test très court, la méfiance est de mise.

Si l’on se souvient en outre de la manière dont les lanceurs d’alerte ont été et sont encore ostracisés et en partie persécutés au titre de théoriciens du complot, et que les partisans justifient la nécessité de la loi par la défense contre les conspirationnistes, il faut être bien naïf pour croire qu’un abus de cette loi est exclu. Il semble beaucoup plus probable qu’il soit prévu.

Emmanuel Macron fait partie des Young Global Leaders du lobby des grandes entreprises du Forum économique mondial, qui défend notamment les intérêts des plus grands groupes pharmaceutiques mondiaux comme Pfizer. Le visage du totalitarisme des entreprises se montre de plus en plus ouvertement en de nombreux endroits. Il est probable que de plus en plus de citoyens le reconnaissent.

Emmanuel Macron fait partie des Young Global Leaders du lobby des grandes entreprises du Forum économique mondial, qui défend notamment les intérêts des plus grands groupes pharmaceutiques mondiaux comme Pfizer. Le visage du totalitarisme des entreprises se montre de plus en plus ouvertement en de nombreux endroits. Il est probable que de plus en plus de citoyens le reconnaissent.

Vous avez écouté le texte de Norbert Häring : Le gouvernement Macron fait voter la « Loi de protection Pfizer », à lire sur son blog  » norbertharing.de  » j’ai doublé les speakers allemands Ulrich Allrogen et Eva Schmitt. Je vous souhaite une bonne journée et une bonne soirée. A bientôt, ciao ! Merci !

Source :


CorruptionDébatsDésinformationPolitiqueSantéSciences

Rate it
0%
Recevez le programme hedbomadaire

Recevez une fois par semaine la liste des nouveaux podcasts en ligne
et des prochains événements/lives/débats.

Et des invitations spéciales pour participer à nos émissions :-)

Voir notre levée de fonds pour une app mobile et + encore